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Logiciels de gestion de références bibliographiques : citons le libre !par Carole Zweifel |
RésuméDepuis 2005 la situation des logiciels libres pour les bibliothèques évolue rapidement. Dans la liste des logiciels à disposition, les logiciels de gestion de références bibliographiques semblent attirer aussi bien les bibliothécaires que les étudiants et les chercheurs. Afin de réaliser un état des lieux approfondi des solutions libres existant aujourd’hui, un test comparatif de sept outils a été réalisé en été 2007 et ce sont les résultats qui sont présentés dans cet article. Mots-clésLogiciels libres – Gestion de références bibliographiques – Base de données bibliographiques
1. IntroductionLudivine Berrizi et moi avions publié un article dans le RESSI no 2 (juillet 2005) sur les logiciels libres en bibliothèque, avec un accent sur les logiciels de gestion de bibliothèque (SIGB). A cette époque, parler d’applications libres pour les bibliothèques en Suisse était assez novateur. Il existait en effet peu de choix et presque aucun utilisateur. Mais nous concluions notre article en relevant un potentiel très fort du libre en bibliothèque.
Force est de constater que depuis 2005, la situation des logiciels libres pour les bibliothèques a évolué dans le bon sens et rapidement. Une lecture du rapport annuel sur l’informatisation des bibliothèques en France, publiée chaque année dans Livre Hebdo (Maisonneuve, 2007) en mars, nous informe en effet que « un projet informatique sur quatre porte sur l’implantation d’un système de logiciel libre ». De plus, PMB (certainement le SIGB libre le plus performant actuellement avec Koha) représente plus d’un dixième des logiciels installés en 2007 dans des bibliothèques municipales françaises. Et l’on compte 302 nouveaux contrats avec PMB dans tous les types de bibliothèques en France en 2006. Mais le SIGB n’est pas le seul type de logiciel libre qui concerne les bibliothèques. Greenstone devient un incontournable quant à la création de bibliothèques numériques et l’UNESCO ne s’est pas trompé en soutenant ce projet. On peut également trouver plusieurs outils de transformations de données MARC, des logiciels de gestion de documents audio-visuels ou encore les logiciels de gestion de références bibliographiques. Il y a maintenant plus d’un an, je me suis intéressée à cette dernière catégorie. Le logiciel de gestion de références bibliographiques (que j’abrégerai par LGRB dans cet article) est utilisé de manière assez mineure en bibliothèque mais le message de Madame Ariane Sujatha Henry sur Swiss-lib du 20 juin 2007 et les diverses réponses a montré qu’il y’avait un besoin dans ce domaine, que ce soit pour gérer une petite base de références internes ou pour soutenir les nombreux étudiants et chercheurs qui utilisent un LGRB. En cherchant des références récentes sur le sujet, j’ai constaté que celui-ci était encore peu traité de manière approfondie. Deux billets de blog récents (Mahbub Murshed, 2007 / Fauskes, 2007) citent plusieurs logiciels libres et de nombreux commentaires de développeurs de LGRB y ont été ajouté avec des informations récentes. On trouve également une grille de comparaison des LGRB (dont 9 solutions libres) fort bien faite sur Wikipedia (2007b). Mais ces informations ont-elles été pêchées sur le site officiel du site ou proviennent-elles d’un réel test ? Dans le but d’établir un état des lieux approfondi des solutions libres existantes actuellement, j’ai donc réalisé un test complet puis un comparatif des applications existantes, entre elles et par rapport à deux logiciels propriétaires classiques (Endnote et Reference Manager). Les résultats de cette étude, comprenant le test de 7 outils réalisé en juillet et août 2007, m’ont étonné de manière très positive. Il existe en effet plusieurs solutions, chacune unique et pour la plupart très performantes, voire meilleures que les solutions propriétaires, dont Endnote ou Reference Manager sont les plus utilisées. On découvrira également que, moyennant quelques adaptations, ce type de logiciel pourrait fort bien convenir comme base de référence pour des petits centres de documentation. Il y a donc de bonnes raisons de connaître ces solutions ! 2. Quelques définitions essentielles
Définition du logiciel libre
Les logiciels libres se caractérisent également par la gratuité de leur acquisition et par leur communauté, « assemblée démocratique » du logiciel composée de ses développeurs, traducteurs et utilisateurs, et remplaçant l’éditeur du logiciel. Le terme « Open source » est souvent utilisé pour qualifier ce type de logiciel. Les deux termes sont très proches mais pas tout à fait équivalents. Nous n’entrerons cependant pas dans une telle finesse de définition dans cet article.
Définition du LGRB Il existe plusieurs normes de rédaction de références bibliographiques dont les plus connues sont ISO 690, 690-2 (pour les documents électroniques), ISO 4 et ISO 832 (pour les normes d’abréviations). Les normes peuvent aussi être fixées par un éditeur, une université ou un périodique. Chacun demandera, comme le RESSI , de suivre une convention précise. Le LGRB s’adresse avant tout à un public académique (professeurs, chercheurs ou étudiants avancés), rédigeant des documents faisant de nombreuses références aux articles ayant nourris leur travail. Une liste bibliographique normalisée étant indispensable en fin de travail, le LGRB permet de gagner un temps considérable à l’étape de création de cette liste. Le LGRB n’est a priori pas prévu pour être utilisé en bibliothèque mais les bibliothécaires peuvent tout à fait être amenés à l’utiliser lorsqu’ils réalisent eux-mêmes des travaux de recherche ou pour gérer une petite base de données de références personnelles. Les bibliothèques universitaires étant souvent le refuge de chercheurs et universitaires, sont également des lieux de formation privilégiés de ces logiciels, en attestent plusieurs manuels d’utilisation sur des sites de bibliothèques universitaires.
Enfin, il n’est pas rare de croiser un LGRB dans un petit centre de documentation. Tout le monde ne fait pas, en effet, du prêt, des échanges de notices au format MARC, ni ne participe à un catalogue collectif demandant d’utiliser des formats spécifiques. Ces outils ont l’avantage de pouvoir gérer simplement une documentation selon des besoins simples…et évitent d’utiliser un tableau Excel ou la base Filemaker Pro dont plus personne ne se souvient du concepteur ! Deux projets d’installation d’un LGRB libre dans un centre de documentation ont d’ailleurs été menés, à la grande satisfaction des mandants, au travers des travaux de diplômes de la Haute école de gestion de Genève en 2006 (Argenzio-Fortuna, 2006 ; Chabloz, 2006).
Le format des références Il existe des formats alternatifs plus récents et donc moins courants : Amsrefs, biblatex ou encore Pybtex. Signalons également que l‘usage de XML est de plus en plus courant. Au passage, on ne saurait rappeler l’importance de l’usage d’un langage standard dans tout logiciel, dans le but de migrer les données en cas d’obsolescence du logiciel employé. Cette question est d’autant plus essentielle dans le milieu des bibliothèques où l’on se doit d’avoir une vision à long terme de la conservation des données informatiques.
Aspects techniques et architecture Coté architecture, les LGRB sont typiquement des petits logiciels monopostes, à usage personnel. Le logiciel est installé sur le poste de l’utilisateur. Si son ordinateur est relié à un réseau, il est possible d’installer le logiciel sur un disque commun. Mais un usage simultané par plus d’une personne n’est pas possible. Endnote ou Reference Manager, ne sont, par exemple, pas adaptés à l’usage en réseau par plusieurs utilisateurs simultanés.
On trouve dans les logiciels libres testés deux autres architectures : base de donnée en full-web et architecture hybride (Bibus, Zotero).
Bibus et Zotero proposent une architecture hybride. Le premier permet à l’utilisateur d’installer le logiciel soit en monoposte, soit avec une base de donnée en ligne. 3. Méthodologie du testLe test des LGRB libres s’est déroulé en plusieurs étapes : repérage des logiciels , deux étapes de sélection consécutives, installation, test identique pour tous les logiciels, bilan pour chaque logiciel puis comparaisons entre eux.
La sélection
J’ai ensuite visité le site web des logiciels les plus cités pour évaluer leur degré de développement et de pertinence. Un mini-test, via installation du logiciel ou démonstration en ligne, a également été réalisé si cela était possible. Une deuxième sélection a été faite selon les critères suivants :
A la fin de l’étape de sélection, les logiciels suivants ont été choisis pour un test approfondi :
Le test
Une grille de comparaison a ensuite été établie puis remplie pour permettre de relever les avantages et désavantages des logiciels testés entre eux et par rapports aux deux logiciels propriétaires testés. 4. Présentation des logiciels testésVoici ci-dessous un bref descriptif des logiciels testés avec leurs principales particularités: Logiciels monopostes : Jabref, de par son look, ses fonctionnalités et son adaptabilité, est le logiciel testé le plus similaire à Endnote et Reference Manager. Ses fonctionnalités sont d’excellente qualité: import et export de nombreux formats de notices ou depuis des bases de données en ligne, nombreuses grilles de catalogage avec possibilité de joindre le fichier, listes d’autorités et groupes intelligents. Ergonomique et facilement maniable, Jabref est également aisément adaptable (grilles de catalogage, styles bibliographiques). L’interaction avec Word ou Open Office est bonne. On regrettera seulement le peu d’intuitivité du moteur de recherche. Programme en Java, Jabref fonctionne sur tout système d’exploitation.
Bibdesk est un logiciel pour MacOS uniquement. Ce sera son seul point négatif car pour le reste, Bibdesk est un excellent logiciel monoposte. Les fonctions de catalogage permettent de décrire les documents via 21 grilles différentes, facilement adaptable. L’utilisateur peut ajouter plusieurs métadonnées, gérer plusieurs listes d’autorités de manière intelligente, joindre un fichier ou faire un lien sur une adresse web. La création de listes bibliographiques est aisée et souple. Logiciels full-web :
WikiNDX est une base de données en full-web, fonctionnant avec MySQL et PHP. Cette architecture lui permet de proposer plusieurs fonctionnalités de multi-utilisation, tel un espace personnel ou des outils de communication entre utilisateurs, et un réel OPAC accessible à tous, sans mot de passe. Les fonctionnalités sont de qualité, entre autre, les moteurs de recherches simples et avancés, les listes d’autorités, les nombreuses metadonnées disponibles ou encore la possibilité de joindre des fichiers aux notices. Il est également possible de créer une classification des références via des catégories. Les styles de présentation des références sont modifiables et le logiciel génère ensuite un fichier au format .rtf, qu’il faudra ensuite ouvrir dans son logiciel de traitement de texte. Refbase est également une base de données full-web programmée en MySQL/PHP. Moins abouti que WikiNDX, Refbase a présenté de nombreuses erreurs de programmation lors du test, parfois assez handicapantes. Mais ces bugs s’expliquent probablement par le fait que ce logiciel est encore en version beta et de nombreux utilisateurs ne semblent pas avoir eu autant d’ennui. Passé ces désagréments, Refbase se révèle être un logiciel correct mais sans plus : une seule grille de catalogage (comprenant quand même les champs essentiels pour tout type de document) et un moteur de recherche peu performant (pas de recherche par sujet). Par contre, les fonctions d’import et d’export de notices sont de bonne qualité. On trouve aussi la possibilité de générer des filets RSS et un OPAC. Aigaion est un projet assez récent (2005). Base de données en full-web programmée en MySQL/PHP, Aigaion souffre peut-être de sa jeunesse, ce qui pourrait expliquer la trop grande simplicité de ses fonctionnalités. Si celles-ci sont très poussées au niveau du paramétrage des comptes des utilisateurs, et de bonne qualité pour le catalogage, les imports/exports de notices ou l’organisation des référence via une arborescence, les fonctions de recherche et de création de listes bibliographiques ne sont pas assez poussées. Le logiciel est également peu modulable. La base du projet est bonne, de bonne qualité et le logiciel suffisant pour des besoins simples mais il vaudrait mieux attendre que le projet soit plus mature avant d’envisager une utilisation avancée de ce logiciel. A surveiller ! Logiciels hybrides
Zotero semble l’outil idéal pour le chercheur qui récupère de nombreuses notices depuis des bases de données sur Internet. En effet, Zotero est un « complément » du navigateur Internet Firefox et s’utilise via le programme Firefox. Il suffit de se trouver sur une page comprenant les références d’un document, cliquer sur un bouton, et une grille de catalogage (parmi 33 types différents) est automatiquement remplie. Il suffit ensuite de réviser les informations, les compléter avec des mots-clés, des métadonnées ou joindre un document électronique et la référence est ajoutée dans la base de donnée du logiciel… Le logiciel permet d’organiser les références importées selon des catégories. Un bon moteur de recherche permet aussi de s’y retrouver. La création de listes bibliographiques est très simple et il est possible d’exporter les références dans de nombreux formats.
Bibus fonctionnant avec une base de données MySQL (installation en réseau) ou SQLite (installation monoposte) et le langage Python. Bibus devrait fonctionner sur n’importe quelle plateforme. 5. Des outils concurrentielsA la lecture de la grille de comparaison des 7 logiciels testés, voilà ce que l’on peut conclure sur les solutions libres, de manière globale :
Architectures Ces logiciels sont relativement faciles d’installation. Aucun n’a demandé l’intervention d’un informaticien pour une installation sur mon poste personnel. La connaissance minimale des bases MySQL/PHP, dans le cas des logiciels full-web, rend la tâche plus aisée mais n’est pas indispensable, d’autant plus que l’installation de ces logiciels est bien documentée, et compréhensible pour un non-averti. Jabref, Bibus, Bibdesk et Zotero proposent même une installation automatisée. Le test a révélé encore quelques erreurs de programmation dans une moitié des LGRB, mais heureusement pour la plupart parfaitement bénignes et non gênantes. Seul Refbase fut passablement bloqué lors du test par de nombreux bugs, que ce soit au niveau de l’affichage ou lors d’opérations. S’agissant encore d’une version béta (0.9), on espère que ces erreurs seront corrigées pour la première version stable.
Fonctionnalités
Les LGRBL sont essentiellement faibles quant à l’importation de notices, que ce soit depuis des bases de données sur Internet ou via un fichier avec une extension particulière. Si tous importent sans problèmes des notices au format BibTeX et les formats hérités de Endnote (RIS, Endnote XML), il en va autrement des formats liées à des bases de données en ligne, tel CSA, INSPEC, ISI, JSTOR,…. L’importation de notices depuis Internet devient une évidence pour tout chercheur et il est donc très dommage que plusieurs logiciels testés ne proposent que le minimum.
Principal point fort, les LGRB proposent beaucoup d’innovations fonctionnelles par rapport aux logiciels classiques. Premièrement, le choix d’une architecture « full-web » avec une base de données permet de créer plusieurs comptes d’utilisateurs, avec espace personnel et gestion, selon le type de rôle, du workflow des références. Tous les logiciels « full-web » testés proposent ce type de fonctionnalité à des degrés divers de sophistication. L’export des références dans un logiciel de bureautique n’est pas toujours direct (il faut parfois sauvegarder un fichier temporaire puis l’ouvrir avec un programme) mais certains logiciels (Jabref, Bibus) proposent des fonctions très avancées, comme la création d’une base de donnée relais sur Open Office. Plusieurs logiciels proposent également de rédiger directement son article via le logiciel, qui génère directement les citations et les renvois. Fonction peut-être peu pertinente dans le cas de la rédaction d’un long document mais pourquoi pas dans le cas de courts articles? Les fonctions traditionnelles sont également présentes et souvent de manière très satisfaisante. On retrouve par exemple au minimum 13 grilles différentes de catalogage, selon le type de document (37 pour WikiNDX et 33 pour Zotero). Seul Refbase ne propose qu’une grille généraliste. Si les grilles ne sont pas adaptables par tous (Jabref, Bibdesk et Bibus le permettent), il est au moins possible d’ajouter des champs supplémentaires. Chaque logiciel permet donc de modifier les grilles, d’une manière ou d’une autre. Jabref, Bibdesk, WikiNDX et Aigaion proposent également des listes d’autorité et tous les logiciels proposent une indexation sujet. La plupart des logiciels possède également un ou plusieurs champs de métadonnées sur les référence : notes, remarques de lecture, cotation, lu ou non, etc. La qualité du moteur de recherche et sa facilité d’utilisation est variable mais de manière générale, tous les logiciels ont répondu correctement aux mêmes recherches. S’ils proposent tous la recherche booléenne, ce n’est par contre pas le cas de l’usage de troncatures. Chaque logiciel permet de trier puis classer les références dans des dossiers. Enfin, relevons l’importation de notices via Z39.50 possible avec Bibdesk et Zotero.
Formats
Langues
Ergonomie et présentation 6. Conclusion :
Un test plus approfondi et des retours d’expériences d’utilisations réelles permettraient de donner un avis plus complet sur les logiciels testés. Les résultats obtenus par cette étude sont néanmoins très réjouissants et permettent de relever les tendances suivantes : Parmi toutes ces applications, les utilisateurs potentiels devraient sans peine trouver une solution correspondant de manière très satisfaisante à leurs besoins spécifiques (outil collaboratif, import de références du web, export de bibliographie,…).
Et si les besoins ne sont pas satisfaits par l’un d’entre eux, il est aussi possible de coupler l’usage de deux logiciels, comme le propose Hervé Ponsot (PONSOT, 2007)…et les possibilités deviennent infinies ! En résumé, moyennant quelques manipulations, on peut obtenir une solution très souple et satisfaisante. Evidemment, le bricolage et l’utilisation de plusieurs logiciels en chaîne a ses limites et des usagers très exigeants, ou peu portés sur la technique, n’y trouveront peut-être pas leur bonheur complet. Mais, force est de constater que le libre devient un incontournable et propose de plus en plus, dans notre cas aussi, des applications sérieusement concurrentielles à des solutions propriétaires souvent onéreuses. On aurait donc tort de ne pas les tester avant toute acquisition de logiciel ou les proposer aux étudiants ou chercheurs ! BibliographieDocuments consultés (2007) Bibliographic Software and Standards Information - OpenOffice.org Wiki [en ligne]. OpenOffice.org wiki, [consulté le 20 octobre 2007]. http://wiki.services.openoffice.org/wiki/Bibliographic_Software_and_Standards_Information (2007b) Comparison of reference management software [en ligne]. Wikipedia , the free encyclopedia, [consulté le 20 octobre 2007] http://en.wikipedia.org/wiki/Comparison_of_reference_management_software (2007c) BibTeX [en ligne]. Wikipedia, the free encyclopedia, [consulté le 20 octobre 2007] http://en.wikipedia.org/wiki/BibTeX ARGENZIO-FORTUNA, Carla, BEYLARD-OZEROFF, Rossana, MONTERO BARROS, Liliam C. (2006). Mise en place d’une cartothèque au muséum d’histoire naturelle de la Ville de Genève : propositions. 2 vol. Travail de diplôme présenté à la Filière Information documentaire, Haute école de gestion de Genève http://doc.rero.ch/search.py?recid=6532&ln=fr CHABLOZ, Julie, NEPA, Claudia, TORRENT, Fanny (2006), La doc ça change LAVI : élaboration d'une structure documentaire pour le Centre de consultation LAVI. 2 vol. Travail de diplôme présenté à la Filière Information documentaire, Haute école de gestion de Genève http://doc.rero.ch/search.py?recid=6530&ln=fr FAUSKE, Kjell Magne (2007). Finding the right reference/bibliographic tool [en ligne] fauskes.org, [consulté le 20 octobre 2007]. http://www.fauskes.net/nb/bibtools/ KESSLER, Jane Kessler et ULLEN, Mary K. van (2005). Citation generators : generating bibliographies for the next generation. The Journal of Academic Librarianship , vol. 31, no. 4, 15 juillet 2005, p. 310-316 MAHBUB MURSHED, Suman M. (2007). Comparison of Free Bibliographic Managers [en ligne]. Beyond my mind, [consulté le 20 octobre 2007]. http://mahbub.wordpress.com/2007/03/04/comparison-of-free-bibliographic-managers/ MAISONNEUVE, Marc (2007). Informatisation des bibliothèques : l'investissement reprend. Livres Hebdo, no. 679, 2 mars 2007, p. 94-102 PONSOT, Hervé (2007). Outils bibliographiques récents via Internet : pour presque tout le monde, possesseurs de Mac exceptés... [en ligne]. Paulissimo, [consulté le 20 octobre 2007] http://paulissimo.dominicains.com/spip.php?article171 SUJATHA HENRY, Ariane (2007). Logiciel Endnote. In Swiss-lib [liste de diffusion]. 20 juin 2007 Sites web [consultés le 20 octobre 2007] Free software foundation et GPL : http://www.fsf.org Sourceforge : http://sourceforge.net Jabref : http://jabref.sourceforge.net Bibdesk : http://bibdesk.sourceforge.net WikiNDX: http://wikindx.sourceforge.net Refbase: http://refbase.sourceforge.net Aigaion: http://www.aigaion.nl Zotero: http://www.zotero.org |
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Date de création : 30.04.2008 Date de dernière mise à jour : 30.04.2008 |